C'est le temps de réclusion qui sera infligé à une personne pratiquant ou subissant une IVG, qu’elle soit médecin, infirmier ou femme enceinte, et jusqu’à trois ans en cas de pratique involontaire en Pologne. Le comité Stop avortement est à l'initiative de cette proposition de loi très controversée interdisant de facto l'avortement soumise le 22 septembre au Parlement polonais.
Votée en 1993, la loi en vigueur, déjà très restrictive, n’autorise l’avortement qu’en cas de risques pour la santé de la mère, d’examen prénatal montrant une pathologie irréversible chez l’embryon et de grossesse résultant d’un viol ou d’un inceste. Quelque 2 000 avortements légaux sont pour l'instant pratiqués chaque année. Et 150 000 avortements sont pratiqués à l'étranger ou illégalement.
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