Après avoir traversé l’Océan Atlantique et noué un accord avec le Brésil, le LFB (Laboratoire de fractionnement et des biotechnologies) met cette fois le cap vers le Middle East. L’Arabie Saoudite vient de signer un contrat de 900 millions d’euros avec le laboratoire français afin de construire une usine clé en mains. Des transferts de technologie sont également programmés dans le protocole d’accord. Les capacités de production envisagées devraient permettre des exportations dans l’ensemble de la région. Ce nouveau projet s’inscrit dans le développement de l’activité à l’export. À terme, l’activité à l’étranger devrait représenter 50 % du chiffre d’affaires à l’étranger. Pour financer ce redéploiement, le LFB vient de bénéficier d’une augmentation de capital entièrement souscrite par l’État français. Elle participera également au financement d’une future usine située à Arras (Pas-de-Calais). L’objectif est de tripler la capacité de production de médicaments dérivés du plasma et là encore d’exporter à l’international. Le sixième acteur mondial dans son secteur est condamné à ce grand bond en avant. La course à la taille critique est ici vitale pour réduire les coûts et éviter les hémorragies de perte d’emplois.
LFB, la conquête de l’Est
Publié le 22/10/2015
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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