Juste après le premier tour raté des élections municipales, elle avait jeté un pavé dans la mare dans le journal Le Monde, évoquant l'élection municipale comme « une mascarade ». Pour revenir à ses premières amours : « Je n'ai plus de boulot. Je dis toujours : "Ministre un jour, médecin toujours." L'hôpital va avoir besoin de moi. Il va y avoir des milliers de morts. » Résultat, la professeure d'hématologie a tenu parole, et a repris depuis la semaine dernière son activité médicale à l'hôpital Percy à Clamart, dans la banlieue ouest de Paris, selon plusieurs de ses proches : « Elle refuse désormais toute expression publique. Mais elle ne me paraît ni stressée, ni fatiguée, elle est posée », explique l'une de ses colistières.
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