Un travail publié aujourd’hui dans la revue PLOS a confirmé le lien, jusqu’ici suspecté entre faible niveau de vitamine D et sclérose en plaques, ouvrant airichardnsi la voie à de possibles stratégies préventives de cette maladie actuellement sans traitement.
Ce travail, réalisé sous la direction de Brent Richards (Université McGill, Canada) a analysé chez 14 498 malades atteints de SEP et 24 901 personnes en bonne santé, l’influence de faibles niveaux génétiques de vitamine D sur la probabilité de contracter cette pathologie neurologique.
Le résultat a montré que les bébés naissant avec des gènes associés à une déficience en vitamine D ont un risque deux fois plus élevé de développer une SEP, diagnostiquée généralement entre 20 et 50 ans.
Les chercheurs ignorent cependant si donner de la vitamine D à des enfants ou à des adultes en bonne santé diminue leur risque de développer une SEP. Des essais cliniques sont en cours pour étudier cette possibilité.
La SEP touche 2,3 millions de personnes dans le monde.
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