Sans nier la difficulté de la période, la Dr Lisadie Fournier, médecin coordonnateur au sein de l'HAD de l'AP-HP, veut retenir les innovations qui, espère-t-elle, vont se pérenniser. Ainsi de la mise en place d'une équipe mobile d'intervention rapide spécialisée en soins palliatifs, composée d'un infirmier et d'un médecin, capable d'intervenir dans l'heure, en particulier dans les EHPAD, pour éviter le transfert de patients qui décompensent sur le plan respiratoire (jusqu'à 15 interventions par jour). Ou encore, l'expérimentation d'autres formes de communication (téléphone, skype, etc.) entre soignants, et avec les patients et les familles, pour rompre l'isolement. Pas question d'idéaliser le domicile pour autant : « le maintien à domicile a un coût et présente des risques que nous devons assumer collectivement ».
Des personnalités demandent l'entrée au Panthéon de la psychiatre et résistante Adélaïde Hautval
Sur les réseaux sociaux, le retour en force du culte de la maigreur fait des ravages
Avec le désengagement américain, l’OMS annonce une réorganisation et des licenciements
Vaccination, soutien aux soignants, IVG : le pape François et la santé, un engagement parfois polémique