L'alerte a fait la une de l'hebdomadaire d'information portugais Visão. Le journal indique qu'un Portugais sur quatre attend plus longtemps que ce que la loi autorise pour une consultation ou une intervention chirurgicale . « Une opération prioritaire de gynécologie à l’hôpital Garcia de Orta d’Almada peut prendre jusqu’à trois ans et demi (alors que la loi recommande de 45 à 60 jours pour cette situation) et il faut compter environ deux ans et huit mois pour obtenir une consultation en cardiologie à l’hôpital de Guarda (alors que l’attente ne devrait pas dépasser 150 jours) », illustre l'hebdomadaire. Il précise que près de 223 000 patients sont sur liste d’attente au dans ce pays pour une opération.
Fin de vie : les doyens de médecine s’opposent à une formation obligatoire à l’aide à mourir
La justice ordonne la prise en charge des soins chirurgicaux d’une transition de genre
Fin de vie : Macron évoque un référendum en cas d’enlisement des débats parlementaires
Fin de vie : Catherine Vautrin promet d’encadrer strictement l’aide à mourir, le gouvernement reste divisé