Les pharmaciens autorisés à vacciner contre la grippe
Améliorer la couverture vaccinale contre la grippe saisonnière. C’est tout l’enjeu de la généralisation sur toute la France de la vaccination en officine, entrée en vigueur lors de la campagne 2019. La mesure s’applique à tous les pharmaciens volontaires et ayant validé une formation. Les médecins, mais aussi les infirmiers (autorisés à vacciner), grincent des dents. Ils dénoncent un mélange des genres, certains accusant les pharmaciens de détournement de patientèle !
La suppression du numerus clausus
Instauré en 1971, le numerus clausus n’est plus. La ministre de la Santé a supprimé cette mesure d’un autre temps, destinée initialement à réguler l’offre de soins. Face à la pénurie médicale, le verrou a sauté. Mais le problème du manque de médecins ne disparaîtra pas du jour au lendemain, la capacité de formation des facultés n’étant pas extensible à volonté.
Un médicament doit apporter sa preuve d’efficacité. C’est sur cette base que le ministère de la Santé a organisé le déremboursement progressif des produits homéopathiques. Une majorité de médecins ont approuvé, même si certains ont dénoncé cette initiative jugée démagogique sur le plan économique.
La suppression de la PACES
Diversifier les profils, améliorer l’apprentissage et le bien-être des étudiants… C’est tout l’enjeu de la réforme de la première année des études de santé, engagée avec la suppression de la PACES. La nouvelle formule entrera en vigueur à la rentrée 2020.
Le déremboursement de l’homéopathie



La mise en place des assistants médicaux
Les syndicats de médecins ont soutenu cette mesure censée libérer du temps médical aux médecins. Six mois après la signature de l’avenant, les premiers recrutements d’assistants médicaux financés par l’Assurance-maladie ont vu le jour. Les praticiens concernés se sont engagés à recevoir davantage de patients. Une contrepartie à laquelle s’opposent certains médecins, par ailleurs frileux à l’idée de revoir leur pratique médicale pour faire une place à un assistant médical.


Procès Le Scouarnec : le maximum de 20 ans de réclusion requis avec rétention de sûreté
Les députés précisent la procédure pour demander une aide active à mourir
Dr Emmanuelle Piet (Collectif féministe contre le viol) : « C’est tout un système qui protège les agresseurs »
Les députés s’accordent sur les cinq critères cumulatifs pour être éligible à l’aide à mourir