La députée Caroline Fiat, assimilant les médecins à des
« ingrats corporatistes »
La liberté d’installation constitue « une forme d’ingratitude corporatiste envers la collectivité ». Les écrits de Caroline Fiat, figurant dans un amendement (à la loi de santé) prônant le conventionnement sélectif, ont soulevé un tollé chez les médecins. La députée La France insoumise, aide-soignante de formation, retirera finalement son texte et s’excusera auprès de la profession. Mais le mal était fait…
Le journaliste Pascal Praud, qui s’étonne de la durée des études de médecine
« Pourquoi [faut-il] dix ans d'études pour soigner des grippes ? » La question, d’une naïveté déconcertante, a été posée sur CNews par le journaliste Pascal Praud, au cours d’un débat sur le malaise à l’hôpital durant l’émission « l’Heure des pros » (qui porte bien mal son nom en l’occurrence). Très fier de sa trouvaille, l’animateur se justifiait : « La médecine, c'est empirique, les médecins apprennent au contact en permanence, alors pourquoi les études de médecine sont-elles si longues ? » Face au tollé, Pascal Praud a rapidement fait marche arrière, expliquant qu’il ne fallait pas prendre ses petites phrases au premier degré…
C’est au départ une campagne pour dénoncer le racisme dans le milieu médical. L’opération lancée sur Twitter s’est rapidement transformée en doc bashing, des centaines d’internautes reprochant à leur médecin tout et (surtout) n’importe quoi : un arrêt de travail refusé, un rhume mal soigné, des temps d’attente trop longs…
Le Pr Henri Joyeux, complice des essais cliniques sauvages
Il n’y a pas que sur la question des vaccins que le très controversé cancérologue s’illustre. Le Pr Henri Joyeux a publiquement affiché son soutien aux essais cliniques non déclarés dirigés par l’ex-pharmacien hospitalier, le Pr Jean-Bernard Fourtillan, et que l’ANSM a stoppés invoquant leur caractère illégal. Dans la foulée, l’Ordre des médecins a porté plainte contre le médecin, notamment pour charlatanisme.
#balanceTonMédecin, le doc bashing sur Twitter
Christophe Castaner et l’« attaque » de la Pitié
« Ici, à la Pitié-Salpêtrière, on a attaqué un hôpital. On a agressé son personnel soignant. » Le tweet du ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, n’est pas passé inaperçu en plein défilé du 1er mai, auquel se sont joints des Gilets jaunes. En fait d’attaque, des manifestants s'étaient réfugiés dans l’établissement, provoquant un mouvement de panique, comme le révèlent plusieurs vidéos sur Internet. Le ministre sera taxé de « mensonges » et d’« incompétence » par les parlementaires de l’opposition, dont certains réclameront sa démission.





Série d’été – Ces exercices hors du commun
« C’est un plaisir de médicaliser le Hellfest » : le Dr Pierre Balaz allie médecine et death metal
Indemnisation des accidents médicaux : 186 millions d’euros versés par l’Oniam en 2024
Médecins bénévoles : « Connaître l’état d’esprit des patients très précaires est fondamental pour soigner »
Un cardiologue porte assistance à une passagère en plein vol : « je n’aurais jamais imaginé vivre une telle situation »