Seules quelques mutations sont responsables de la plupart des résistances aux antirétroviraux à travers le globe, selon une vaste étude épidémiologique publiée dans « PLOS Medicine ». Elles seraient au nombre de 4 et 16 pour respectivement les inhibiteurs non-nucléosidiques de la transcriptase inverse et les inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse. Pour ce bilan épidémiologique mondial, l’équipe dirigée par Soo-Yon Rhee, de l’université de Stanford, s’est servi des données de plus de 50 000 patients de 111 pays, à partir de 287 études publiées. Le développement d’un test génétique permettrait de guider le traitement des sujets infectés naïfs dans ces régions du monde.
PLOS Medicine, publié en ligne le 7 avril 2015
À Gaza, le chaos laisse peu de place aux soins psychiques
Enfants de la guerre et psychotrauma : carnets de bord de spécialistes français
Fin de vie : l’Académie de médecine réitère son opposition à l’euthanasie
Un médecin sur trois déclare avoir été sujet à l’épuisement professionnel, selon une étude Odoxa-MNH