Les premiers résultats de l’essai COM’TEST présentés à Vienne « démontrent la pertinence d’un tel dispositif, a souligné Roselyne Bachelot. Il permet de détecter un grand nombre de personnes particulièrement à risque et qui plus est, dépistées à un stade très précoce de la maladie, ce qui est dorénavant l’objectif à atteindre ». Cette étude menée par AIDES et l’ANRS (Agence nationale de recherches sur le sida et les hépatites) montre que le niveau de découverte de séropositivité dans ce dispositif est 10 fois supérieur à celui réalisé en CDAG, avec un niveau élevé de satisfaction (plus de 90% des personnes testées) ; 38 % des personnes dépistées n’avaient pas fait de test depuis plus de 2 ans. « Nous avons prouvé, par des résultats concrets, que l’offre démédicalisée de dépistage correspond à un réel besoin », souligne AIDES.
Résultats prometteurs
Publié le 22/07/2010
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Source : Le Quotidien du Médecin: 8805
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