Résultat rarement atteint en nutrition, la cohorte ANRS HEPAVIH a retrouvé une diminution de moitié de la mortalité totale après ajustements, après un suivi de 5 ans sur plus de 1 000 patients co-infectés VIH-VHC, chez ceux qui buvaient 3 tasses de café ou plus par jour à l’inclusion, par comparaison à ceux qui en buvaient moins de 3.
L’effet anti-inflammatoire et hépatoprotecteur des polyphénols du café semble particulièrement important dans cette population à haut risque hépatique mais aussi cardiovasculaire. Il sera nécessaire d’évaluer l’effet d’une supplémentation systématique, de café ou d’extraits.
La guérison du VHC (+80 %) et ne pas fumer (+70 %) étaient aussi deux déterminants majeurs de survie dans cette cohorte.
Carrieri MP et al. J Hepatol (2017). Epub 08.005
La perturbation stromale, nouveau biomarqueur des cancers du sein agressifs
La vaccination anti-HPV au collège est bien acceptée mais l’information doit être renforcée
VIH : les statines recommandées en prévention primaire de l’athérosclérose aux États-Unis
L’ovéporexton, une nouvelle molécule efficace dans la narcolepsie de type 1