Compte tenu du risque accru de maladie thrombo-embolique veineuse sous pilule de troisième ou quatrième génération, la contraception d’une femme acnéique repose en première intention sur le lévonorgestrel et en seconde intention sur le norgestimate.
Les traitements hormonaux à base d'acétate de cyprotérone (Diane 35 et ses génériques) peuvent être envisagés en troisième intention, en cas de persistance de l’acné malgré un traitement bien conduit et en tenant compte du risque thrombo-embolique individuel de la patiente. Ils ne doivent pas être associés à l'isotrétinoïne.
La perturbation stromale, nouveau biomarqueur des cancers du sein agressifs
La vaccination anti-HPV au collège est bien acceptée mais l’information doit être renforcée
VIH : les statines recommandées en prévention primaire de l’athérosclérose aux États-Unis
L’ovéporexton, une nouvelle molécule efficace dans la narcolepsie de type 1