La fébrilité politique autour de l’hôpital s’explique aussi par les chamboulements de la gouvernance des établissements. La présidence des « conseils de surveillance » de tous les hôpitaux est actuellement en jeu. En lieu et place des conseils d’administration – jusque-là quasi automatiquement présidés par le maire de la ville d’implantation de l’hôpital –, ces structures nouvelles (et un peu vidées de leur substance au profit des « directoires ») pourront être pilotées soit par un élu, soit par une personnalité qualifiée (désignée membre du conseil de surveillance par le directeur de l’ARS – agence régionale de santé – ou représentante des usagers). Les maires sont donc en campagne pour conserver leur siège. La perspective de la constitution des communautés hospitalières de territoires (CHT), au sein desquelles les élus veulent conserver leur ascendant, complique encore la donne.
Autant en emportent les conseils de surveillance
Publié le 17/05/2010
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Source : Le Quotidien du Médecin: 8771
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