Le laboratoire Immunologie Analytique des Pathologies Chroniques de Patrice Marche de Grenoble qui a reçu les malades en Rhône-Alpes, est partie prenante dans l’étude de la piste impliquant un facteur rétroviral endogène dans la SEP. Cette hypothèse permet d’expliquer deux traits troublants de cette pathologie : l’implication de l’immunité et l’apparition de l’inflammation. Elle a abouti à un traitement potentiel à base d’anticorps, actuellement en phase II, mené par la start-up GeNeuro avec le Dr Hervé Perron, découvreur de cette piste rétrovirale au début des années 1990 dans le laboratoire de virologie du CHU de Grenoble.
La piste rétrovirale : un traitement en phase II
Publié le 10/12/2012
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Médecin: 9203
Chikungunya : l’épidémie en baisse à La Réunion, nouvelle phase du plan Orsec à Mayotte
[VIDEO] Simulateur d’IRM, de la clinique à la recherche
Une santé mondiale sans la première puissance est-elle possible ?
Maladies infectieuses : les décisions mortifères des États-Unis