L’hospitalisation publique et privée peuvent coopérer via une simple coopération, un outil souple mais de portée limitée. Les GIE (groupements d’intérêt économique) et GIP (groupements d’intérêt public) sont utilisés pour la gestion commune d’équipements lourds, la création de services logistiques (restauration, blanchisserie), la mise en œuvre d’un système d’information. L’outil le plus prisé est le GCS (groupement de coopération sanitaire) de moyens. Il permet aux hôpitaux et aux cliniques de réaliser des activités de soins dans les mêmes locaux et avec des moyens communs. Sur les 150 GCS recensés mêlant public et privé, une vingtaine serait en souffrance selon la FHP (voir carte).
Le « GCS », outil privilégié
Publié le 11/04/2013
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Médecin: 9233
[VIDEO] Simulateur d’IRM, de la clinique à la recherche
Une santé mondiale sans la première puissance est-elle possible ?
Maladies infectieuses : les décisions mortifères des États-Unis
Des ONG dénoncent les blocages humanitaires à Gaza, guettée par la famine