Selon des résultats d’essais cliniques publiés dans « PLoS medicine » (1er fevrier 2011), un traitement intermittent pendant les périodes de transmission permet de réduire les infections chez les jeunes enfants et pourrait constituer une approche préventive prometteuse. Les études ont été menées au Burkina Faso et au Mali auprès de 6 000 enfants de 3 mois à moins de 5 ans. L’administration de 2 ou 3 doses d’une combinaison d’antipaludéens à 1 mois d’intervalle a permis de réduire les taux d’infection de 70 à 85 %. Une troisième étude, conduite en Gambie, a montré par ailleurs que des équipes sanitaires pouvaient aisément administrer ces antipaludéens dans les villages.
Une nouvelle approche
Publié le 04/02/2011
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Médecin: 8900
La perturbation stromale, nouveau biomarqueur des cancers du sein agressifs
La vaccination anti-HPV au collège est bien acceptée mais l’information doit être renforcée
VIH : les statines recommandées en prévention primaire de l’athérosclérose aux États-Unis
L’ovéporexton, une nouvelle molécule efficace dans la narcolepsie de type 1