Médecins remplaçants, remplacés… Les relations sont parfois conflictuelles. Témoignage d’une lectrice.
Ayant été remplaçante pendant 6 ans avant installation (conjoint militaire muté tous les deux ans), j'ai tout connu en matière de confrères remplacés, le pire et le meilleur, le reconnaissant et l'ingrat, le généreux et le radin, le dévoué et le fonctionnaire, l 'organisé et le bordélique.
Installée, j'ai également tout connu en matière de remplaçants, des zélés et des « j'm'en foutistes », des cupides et des désintéressés... des qui commençaient à 10h, terminaient à 17h sous prétexte d'enfants à récupérer, ne prenant ni mercredi, ni samedi, ni visites à domicile, ni gardes, ni urgences. La dernière, de cet acabit, et voulant en plus s'associer (ben voyons !) m'a définitivement dissuadée de me faire remplacer.
Anne Y
Message posté le 28 octobre 2024. Voir tous les commentaires sur le sujet : « Dans le portefeuille de Valentin, remplaçant : “Avec la pénurie de médecins, les taux de rétrocession sont très intéressants” »
C’est vous qui le dites
« Il ne sert à rien d’ajouter une année d’étude supplémentaire » pour devenir médecin
C’est vous qui le dites
« La question du temps de travail des internes est une question cruciale de sécurité »
C’est vous qui le dites
« Les généralistes veulent bien travailler pour presque rien, pourquoi les payer plus ? »
C’est vous qui le dites
« Les libéraux contraints de travailler 55h par semaine pour s’en sortir »