Coup de gueule, coup de cœur, avis d’expert ou témoignage… La rédaction du « Quotidien » distingue chaque semaine un ou plusieurs commentaires, parmi les centaines postés au fil des jours par les lecteurs internautes.
Olivier Véran a reconnu une erreur dans la gestion des masques en début d'épidémie, mais pas de mensonge. Pour ce lecteur, c'est le monde médical dans son ensemble qui avait mésestimé l'intérêt de cet accessoire.
Le masque est une précaution classique à une maladie aéroportée (Covid mais pas que, grippe, etc. ), ce que tout le monde savait depuis toujours, et on savait aussi qu'à terme (quelques mois, si on faisait attention, mais là aussi il y avait à redire) on serait touché. Négligence, incompétence, et de la part de qui ? Absence évidente d'anticipation, de préparation ! Surtout il me semble que le monde médical avait oublié le masque en pratique courante. On sait aussi qu'une gestion politique de crise ne fait que retarder les solutions pertinentes et empirer la situation. Élaboration de stratégie à l'arrache (excessivement tardive) et cacophonique, responsable d'approximations et d'erreurs multiples. Du coup, confinement avec les résultats économiques et la dette qu'on connaît. En résumé, on ne peut pas appeler ça du boulot. Le bon côté : on devrait en apprendre pour mieux se préparer à la prochaine calamité mais je ne crois pas trop qu'on sera très nombreux à être bien préparés et plus malins. Bientôt, crise de l'énergie, réveillez-vous suffisamment à l'avance, ça va secouer !
Message posté le 9 septembre 2022. Voir tous les commentaires sur le sujet : « « Sur les masques, nous nous sommes trompés » : Olivier Véran reconnaît une erreur mais se défend d'avoir menti
C’est vous qui le dites
« Il en faut du courage pour vouloir devenir médecin aujourd’hui ! »
C’est vous qui le dites
« On m’a rapporté des consultations de généralistes à 150 euros »
C’est vous qui le dites
« J'ai tout connu en matière de confrères remplacés, le pire et le meilleur »
C’est vous qui le dites
« Ajouter un service militaire, c’est tendre la corde aux jeunes médecins »