Tant que les médecins hospitaliers continueront à nous traiter avec autant de condescendance, je vois mal une issue favorable ; je suis obligé quasiment tous les jours de « pleurer » pour obtenir les comptes rendus. Quelques exemples : je ne suis pas prévenu quand il y a un décès. On balance dans la nature un patient sous anticoagulant sans me le dire. Et puis, je me suis aperçu qu'on ne lisait pas les courriers que l'on fait, avec parfois des retards de diagnostic (4 mois pour une patiente adressée pour douleurs thoraciques suspectes avec facteurs de risque ! Le premier compte rendu faisant état d'une HTA bien équilibrée !!). J'avoue en avoir sérieusement assez de me battre contre des moulins à vent…
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Il n'y a pas de désert médical, mais un système à bout de forces
Merci mon cher confrère pour cette alerte sur l’obésité
Le débat de la fin de vie ne doit pas être instrumentalisé !
Ma vie d’allergologue