Le trouble déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) est un diagnostic clinique, caractérisé par un trépied de symptômes, chez un enfant à partir de 6 ans :
- le déficit attentionnel,
- l’hyperactivité motrice,
- l’impulsivité.
En France, la prévalence du TDAH est estimée à 3,5 % des 6-12 ans. Parmi eux, 45,5% présenteraient une dominante « trouble de l'attention », 35,9% une dominante « hyperactivité-impulsivité » et 17,6% une combinaison des 2.
→ Trois classifications coexistent : la CIM-10 de l’OMS, le DSM-5 de l'Association Américaine de Psychiatrie, et la Classification Française des Troubles Mentaux de l’Enfant et de l’Adolescent. En effet, il persiste des points de discorde entre les différents courants de pensée (anglo-saxons vs psychanalystes), notamment quant à l’origine neurobiologique du trouble, voire même remettant en cause sa valeur d’entité clinique à part entière.
Le TDAH se positionne comme un diagnostic « dimensionnel » plutôt que « catégoriel », ce qui signifie qu’il existe un continuum d’intensité des symptômes au sein de la population générale. Cette approche dimensionnelle justifie que ne soient prises en charge que les formes entraînant une altération cliniquement significative du fonctionnement social, scolaire, de la qualité de vie.
Jusqu’à présent, les professionnels de santé n’étaient que peu voire pas formés à ce trouble, expliquant un retard diagnostique voire une absence totale de prise en charge et une aggravation du pronostic à l’âge adulte: difficultés dans le parcours professionnel, difficultés dans les relations interpersonnelles, conduites à risques, conduites addictives.
- le déficit attentionnel,
- l’hyperactivité motrice,
- l’impulsivité.
En France, la prévalence du TDAH est estimée à 3,5 % des 6-12 ans. Parmi eux, 45,5% présenteraient une dominante « trouble de l'attention », 35,9% une dominante « hyperactivité-impulsivité » et 17,6% une combinaison des 2.
→ Trois classifications coexistent : la CIM-10 de l’OMS, le DSM-5 de l'Association Américaine de Psychiatrie, et la Classification Française des Troubles Mentaux de l’Enfant et de l’Adolescent. En effet, il persiste des points de discorde entre les différents courants de pensée (anglo-saxons vs psychanalystes), notamment quant à l’origine neurobiologique du trouble, voire même remettant en cause sa valeur d’entité clinique à part entière.
Le TDAH se positionne comme un diagnostic « dimensionnel » plutôt que « catégoriel », ce qui signifie qu’il existe un continuum d’intensité des symptômes au sein de la population générale. Cette approche dimensionnelle justifie que ne soient prises en charge que les formes entraînant une altération cliniquement significative du fonctionnement social, scolaire, de la qualité de vie.
Jusqu’à présent, les professionnels de santé n’étaient que peu voire pas formés à ce trouble, expliquant un retard diagnostique voire une absence totale de prise en charge et une aggravation du pronostic à l’âge adulte: difficultés dans le parcours professionnel, difficultés dans les relations interpersonnelles, conduites à risques, conduites addictives.
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