■ Il faut hospitaliser les patients présentant des signes de gravité (sepsis sévère ou choc septique, indication de drainage chirurgical ou interven-tionnel), une rétention aiguë d’urines, ou une immunodépression grave.
■ L’hospitalisation est immédiate en cas de geste urologique récent (biopsies de prostate par exemple), il s'agit d'une urgence médicale qui peut mettre en jeu le pronostic vital.
■ L’hospitalisation peut être indiquée au cas par cas s'il existe des facteurs de risque de complication surajoutés : patient âgé, uropathie, déficit immunitaire modéré, insuffisance rénale sévère avec clairance de la créatinine <30 ml/min.
■ Certaines situations peuvent justifier également une hospitalisation : forme hyperalgique, conditions socio-économiques défavorables, doutes concernant l’observance du traitement, traitement par antibiotiques à prescription hospitalière en particulier les infections à entérobactéries sécrétrices de bêta-lactamases à spectre étendu (EBLSE) ou les polyallergies médicamenteuses…Dans la grande majorité des cas, la prise en charge est ambulatoire.
CHAPITRE 2 : QUI HOSPITALISER ?
Par
Publié le 08/01/2016
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr
Mise au point
Troubles psychiatriques : quand évoquer une maladie neurodégénérative ?
Étude et pratique
Complications de FA, l’insuffisance cardiaque plus fréquente que l’AVC
Cas clinique
L’ictus amnésique idiopathique
Recommandations
Antibiothérapies dans les infections pédiatriques courantes (2/2)