Pour la pratique sportive en compétition, en dehors du cas de l’hypertension artérielle déjà abordé, la découverte initiale d’une maladie cardiovasculaire impose toujours un avis cardiologique.
Ce premier bilan va permettre d’évaluer la gravité de la pathologie en cause, l’adaptation à l’effort du patient par une exploration individualisée et la mise en route d’une thérapeutique éventuelle. Les autorisations de pratique sportive (type de sport et intensité de pratique) seront proposées par le cardiologue en accord avec les recommandations régulièrement réactualisées disponibles (6). Le calendrier du suivi cardiologique sera aussi établi.
Dans l’attente de ce bilan les activités physiques modérées, induisant un essoufflement minime non désagréable, ne pourront être autorisées que pour les sujets asymptomatiques. La pratique sportive en loisir, c’est à dire modérée (induisant un essoufflement minime non désagréable), peut être autorisée chez un patient cardiaque bien équilibré par son traitement et totalement asymptomatique.
Ce premier bilan va permettre d’évaluer la gravité de la pathologie en cause, l’adaptation à l’effort du patient par une exploration individualisée et la mise en route d’une thérapeutique éventuelle. Les autorisations de pratique sportive (type de sport et intensité de pratique) seront proposées par le cardiologue en accord avec les recommandations régulièrement réactualisées disponibles (6). Le calendrier du suivi cardiologique sera aussi établi.
Dans l’attente de ce bilan les activités physiques modérées, induisant un essoufflement minime non désagréable, ne pourront être autorisées que pour les sujets asymptomatiques. La pratique sportive en loisir, c’est à dire modérée (induisant un essoufflement minime non désagréable), peut être autorisée chez un patient cardiaque bien équilibré par son traitement et totalement asymptomatique.
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