L’appréciation de l’évolution est variable en fonction des traumatismes et des populations étudiées. L’évolution est favorable dans la majorité des cas.
La régression est complète chez 50 % de patients à trois mois et de 60 à 80 % à un an, suivant les situations traumatiques étudiées par les auteurs.
L’évolution peut être défavorable chez 20 % des patients à cinq ans ; les symptômes de reviviscences s’amendent lentement, cependant soit l’hypervigilance, persiste soit les manifestations anxieuses et dépressives se complètent, s’aggravent et passent au premier plan.
Mise au point
Grossesses tardives : quels risques, quelle prise en charge ?
En 5 points
Crise psycho-comportementale dans les maladies neurocognitives
Cas clinique
La miliaire rouge
En 5 points
Le refus scolaire anxieux