À chaque visite il faut évaluer le contrôle de l’asthme et les facteurs de risque compte tenu de l’impact des CI sur la croissance. Il faut mesurer la taille de l’enfant au moins une fois par an.
→ À l’âge de 5 ans et moins, on observe des rémissions de l’asthme dans près de 50% des cas, ce qui nécessite une réévaluation régulière du traitement, par exemple tous les 3-6 mois. Si le traitement est arrêté, il faut revoir l’enfant au bout de 3 à 6 mois pour savoir si les symptômes sont réapparus ou non.
Si les symptômes ne se sont pas amendés, le traitement doit être repris et, à ce moment-là, il faudra expliquer de nouveau la prise en charge aux parents et aux intervenants autour de l’enfant.
→ Si le contrôle est mauvais et si des exacerbations persistent malgré 3 mois de traitement de fond il faut contrôler que :
- la technique d’inhalation est correcte et que l’adhésion au traitement est bonne ;
- rechercher des facteurs de risque jusque-là ignorés (exposition au tabac, aux allergènes) ;
- s’assurer que les symptômes sont bien dus à l’asthme et non à une autre affection : dans ce cas, il faut adresser l’enfant à un spécialiste.
→ Les choix des systèmes d’inhalation sont résumés dans le tableau TII .
Si un nébuliseur est nécessaire, il faut utiliser un tube prolongateur pour éviter que le contact du corticoïde avec les yeux.
→ À l’âge de 5 ans et moins, on observe des rémissions de l’asthme dans près de 50% des cas, ce qui nécessite une réévaluation régulière du traitement, par exemple tous les 3-6 mois. Si le traitement est arrêté, il faut revoir l’enfant au bout de 3 à 6 mois pour savoir si les symptômes sont réapparus ou non.
Si les symptômes ne se sont pas amendés, le traitement doit être repris et, à ce moment-là, il faudra expliquer de nouveau la prise en charge aux parents et aux intervenants autour de l’enfant.
→ Si le contrôle est mauvais et si des exacerbations persistent malgré 3 mois de traitement de fond il faut contrôler que :
- la technique d’inhalation est correcte et que l’adhésion au traitement est bonne ;
- rechercher des facteurs de risque jusque-là ignorés (exposition au tabac, aux allergènes) ;
- s’assurer que les symptômes sont bien dus à l’asthme et non à une autre affection : dans ce cas, il faut adresser l’enfant à un spécialiste.
→ Les choix des systèmes d’inhalation sont résumés dans le tableau TII .
Si un nébuliseur est nécessaire, il faut utiliser un tube prolongateur pour éviter que le contact du corticoïde avec les yeux.
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