Ces techniques ne sont pas encore d’usage courant même dans les pays les plus développés.
-› Les anti-progestérones (appelés aussi Modulateurs Sélectifs des Récepteurs de la Progestérone). Certaines molécules (ex : l’asoprisnil) qui ne suppriment pas l’action de la progestérone sur l’endomètre, ont eu des effets très bénéfiques sur les fibromes.
-› L’occlusion des artères utérines, soit par laparoscopie (nécessité d’une anesthésie) soit transvaginale guidée par le doppler. On conçoit l’importance de l’expérience des opérateurs.
-› La myolyse par la chaleur, la coagulation par le froid ou le laser provoquent très souvent des adhérences denses.
-› Le réchauffement des fibromes par ultrasons guidés par IRM. La méthode semble avoir un avenir. Mais elle n’en est qu’à ses premiers développements et ses risques ne sont pas encore connus avec précision.
En 5 points
Obésité : suivi d’un patient sous aGLP-1
Cas clinique
La fasciite nécrosante
Mise au point
La périménopause
Mise au point
La sclérose en plaques