Quelle attitude adopter quand la violence verbale voire physique s'exprime néanmoins dans la salle d'attente ? « Les signaux non verbaux que doit communiquer le médecin sont ceux qui expriment la confiance en soi et le sang-froid pour éviter l’escalade », explique Pascal Lefèbvre, formateur dans la gestion de la violence en entreprise. Par exemple, regarder le patient agité d'une manière neutre, sans baisser les yeux et parler avec une voix calme, sécurisante, sans geste brusque. Il est conseillé aussi de se positionner en biais par rapport au patient en question afin d'éviter un face à face qui appelle au combat. Enfin si cette phase d'alarme n'est pas désamorcée, il devient alors dangereux pour le médecin d'en venir aux mains car il existe un risque majeur d'escalade dans la violence. Le mieux est alors de se désengager de cette confrontation et de demander de l’aide.
Si la violence se manifeste...
Publié le 07/05/2010
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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