CAUSES ACQUISES :
- Diabète
- Consommation régulière et excessive d’alcool (sup à 30g/jour soit 3 verres/j (homme) et 2 verres/j (femme) selon l’OMS) dans un contexte de troubles nutritionnels
- De nombreux toxiques peuvent etre incriminés :
prise médicamenteuse (produits neurotoxiques tels les chimiothérapies anti-cancéreuses (entre autres vincristine, cisplatine, vinblastine….) doxyrobutine ????, et aussi métronidazole, isoniazide, éthambutol, nitrofurantoïne, colistine, dapsone, antipaludéens, antirétroviraux...) ;
agents neurotoxiques (exposition environementale ou alimentaire au plomb, mercure, polyacrilamide…).
- Pathologie dysimmunitaire (syndrome de Guillain-Barré et polyradiculonévrites inflammatoires démyélinisantes chroniques, syndrome paranéoplasique, hémopathies dysglobulinémies monoclonales ,…)
- Infections (HIV, hépatite C, maladie de Lyme, Lèpre,…)
- Maladies systémiques (Vascularites : périartérite noueuse, lupus érythémateux aigu disséminé, Gougerot-Sjögren etc…)
- Insuffisance rénale chronique
- Hypothyroïdie
CAUSES GENETIQUES :
- Maladies de Charcot-Marie-Tooth ou neuropathies héréditaires sensitivo-motrices,
- Neuropathies héréditiares sensitives autonomes,
- Porphyries, etc.
AU MOINS 10% DES NEUROPATHIES PERIPHERIQUES RESTENT ENCORE SANS CAUSE DETERMINEE ACTUELLEMENT
Mise au point
Troubles psychiatriques : quand évoquer une maladie neurodégénérative ?
Étude et pratique
Complications de FA, l’insuffisance cardiaque plus fréquente que l’AVC
Cas clinique
L’ictus amnésique idiopathique
Recommandations
Antibiothérapies dans les infections pédiatriques courantes (2/2)