Depuis mardi 1er septembre, les quelque 8 505 étudiants et jeunes médecins officiellement classés et validés après les épreuves classantes nationales informatisées (ECNi) sont appelés à choisir parmi 44 spécialités et 28 subdivisions d'internat.
Cette année, 8 576 postes d'internes sont mis au choix des jeunes dont 290 réservés aux contrats d'engagement de service public – CESP. Ce chiffre est en augmentation de 6 % depuis 2016 afin de répondre aux besoins des territoires.
Les 13 spécialités chirurgicales distribuent 863 postes dont 208 en gynécologie-obstétrique (+7 en un an) et 128 en ophtalmologie (+8). Aucune discipline chirurgicale ne perd de places. Dans les spécialités médicales, 7 316 postes sont proposés. Dans ce bloc, seules quatre spécialités voient leurs effectifs se réduire. Ainsi, 3 177 places sont ouvertes en médecine générale (-38 postes), 178 places en médecine cardiovasculaire (-1), 527 en psychiatrie (-2) et 84 en rhumatologie (-1).
Sans surprise, l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) hérite des plus gros contingents avec 1 414 postes (-24 par rapport à 2019), devant Lille (514 places).
Chaque jour, en fonction de leur classement, 650 jeunes suivent la procédure de choix organisée par le centre national de gestion (CNG) et qui se terminera le 18 septembre.
« L’accès au secteur 2 pour tous, meilleur moyen de préserver la convention », juge la nouvelle présidente de Jeunes Médecins
Jeu concours
Internes et jeunes généralistes, gagnez votre place pour le congrès CMGF 2025 et un abonnement au Quotidien !
« Non à une réforme bâclée » : grève des internes le 29 janvier contre la 4e année de médecine générale
Suspension de l’interne de Tours condamné pour agressions sexuelles : décision fin novembre