Les études de médecine devront-elles passer par des cours de prévention du burn out ? C’est ce que semblent affirmer Daniel Pagnin et ses collègues de l’université fédérale Fluminense, au Brésil. Selon les résultats de leur enquête publiée dans Academic Psychiatry, des somnolences diurnes étaient relevées chez respectivement 60, 65 et 63 % des étudiants de premier, deuxième et troisième cycles. Ces somnolences étaient de plus statistiquement associées avec des signes caractéristiques du burn out, c’est-à-dire un risque accru d’épuisement émotionnel et de comportement cynique ainsi qu’à une baisse des performances académiques.
Somnolence sur les bancs
Le burn out guette dès les études
Publié le 22/05/2014
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9329
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