« La date du vote de la loi santé, initialement prévue le 23 juillet, a été avancée au 16 juillet. Nous avons donc choisi de décaler notre grève dans le temps au 2 septembre, explique au « Quotidien », Antoine Tichadou, président de la structure. On veut marquer le coup et mobiliser plusieurs villes »

Si le compromis sur la professionnalisation territoriale en fin d'internat a mis le feu aux poudres, les derniers dysfonctionnements ont fait monter la pression petit à petit. « Il y a un problème d'organisation. La publication du nombre de postes de formations spécialisées transversales (FST) a été très tardive, à peine quelques jours avant la date de clôture des candidatures, l'arrêté sur la phase de consolidation du docteur junior n'est toujours pas paru et nos conditions de travail sont parfois très difficiles, il y a un ras-le-bol général », poursuit-il.