Courrier des lecteurs

Vaccin, MSP, PMA, malnutrition : quelques définitions revues et commentées

Publié le 13/10/2017

Vaccin. Substance d'origine microbienne qui immunise contre les maladies. La pauvreté croissante mène au manque d'hygiène, à la malbouffe, au retard des soins, à ce sentiment de déchéance qui conduit vers les drogues comme le cannabis, l'alcool, etc., ce qui entraîne une déficience immunitaire, terrain propice aux maladies et épidémies. Un moyen sûr et prouvé pour éviter des épidémies est la vaccination. Entre réduire la pauvreté et/ou vacciner, pour les financiers et les politiques il n'y a aucun doute : c'est la vaccination qui est la plus lucrative.

Maison de Santé : Regroupement de plusieurs professionnels de santé dans un même lieu. Solution imaginée par le gouvernement pour persuader les Français que les déserts médicaux vont disparaître sans augmenter le numerus clausus des médecins ? Parallèlement pour ne pas augmenter le numerus clausus des médecins, le gouvernement fait venir en France des médecins étrangers, veut donner le droit aux pharmaciens de faire des actes médicaux (vaccination, modification des ordonnances), prévoit l'installation de consultations par téléphone ou ordinateur. Le « best » pour lui serait de remplacer les médecins par des robots.

PMA. Elle est légale dès lors que sa mise en œuvre est limitée au traitement des cas de couples se trouvant face à une infertilité médicalement constatée ou risquant de transmettre une maladie grave à l'enfant ou à l’un des membres du couple. Une nouvelle version de la PMA doit voir le jour et être légalisée officiellement. La PMA ne sera plus un acte médical qui permet à un couple hétérosexuel stérile de pouvoir procréer. Elle devient une démarche légale pour satisfaire la femme dans son désir personnel d'enfanter. Chez un couple féminin marié, l'enfant aura-t-il deux mamans officielles ? Quel sera le devenir psychologique de ces enfants, aucune étude n'a été faite. Les politiques veulent ignorer ce fait, leur seul but n'est-il pas de faire plaisir à l'adulte afin de se faire réélire. Au minimum ces enfants ne voudront-ils pas connaître leur véritable père biologique comme le réclame actuellement ceux nés de père (ou de mère) inconnu. Au nom de l'égalité des sexes si la femme célibataire ou homosexuelle a droit légalement d'avoir un enfant en unissant son ovule à un spermatozoïde inconnu, pourquoi l'homme célibataire ou homosexuel ne pourrait-il pas unir son spermatozoïde avec un ovule inconnu.

Malnutrition. Insuffisance ou déséquilibre des apports alimentaires.

Dans les pays dits « pauvres » les personnes meurent de faim par manque de nourriture. Dans les pays dits « riches » les personnes meurent de maladies dues à la « malbouffe » (diabète, hypercholestérolémie, infarctus, AVC, …..) et de cancer grâce aux nanoparticules introduites dans les aliments. Le nombre de morts qui peut être imputé à la malbouffe égalise-t-il ou dépasse-t-il le nombre de mort par la famine ? Etude politiquement inenvisageable. Qui est responsable ? Dans les pays dits « pauvres » comme dans les pays dits « riches », ce n'est ni les politiques, ni les financiers puisque, pour le bien du peuple, ceux qui nous gouvernent, sous l'ascendant des financiers, imposent une politique ultra-libérale ou seul le profit compte au mépris de tout aspect social.

Au final le seul responsable reconnu de cette malnutrition dans les pays dits « riches » est  le pauvre qui refuse d'acheter une alimentation « normale » (sans pesticides, ni antibiotiques, ni nanomatériaux et les innombrables « E », non sucrée ou salée à outrance...) et qui se jette (par addiction ou par manque d'argent?) sur la malbouffe des entreprises agro-alimentaires.

 

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Dr Jean Hvostoff, Les Molières (Essonne)

Source : lequotidiendumedecin.fr