Si le médecin dépasse, « il devra renoncer à facturer le surplus de temps, ou alors le patient ne sera remboursé que partiellement de sa consultation », indique la Société médicale de la suisse romande, qui s'est dite contre cette mesure, tout comme l'association des médecins du canton de Genève, qui y est « fortement opposée ».

En juin dernier déjà, les syndicats de médecins suisses s'inquiétaient de cette baisse de leurs tarifs, et regrettaient d'être payés « au même niveau que les coiffeurs ».