Deuxième roman de Marie-Diane Meissiriel, « Un héritage grec » met en scène Théodora, qui, à 25 ans, en 2009, part pour la Grèce. C’est la première fois qu’elle se rend dans le pays d’origine de sa mère, morte alors qu’elle n’était encore qu’une enfant. Élevée en France par son père, elle ne sait rien de l’histoire de sa mère ni des raisons qui l’ont poussée à rompre avec sa famille avant sa naissance. Il aura fallu la mort de sa grand-mère et la nécessité de régler sa succession pour qu’elle entreprenne le voyage.
Cette Parisienne, doctorante en histoire, fille unique, arrive dans un pays en plein chaos politique et économique et découvre une famille non moins complexe. Après une première visite, Théodora décide de s’y installer pour quelque temps.
Le lecteur va suivre l’héroïne avec intérêt dans une sorte de voyage initiatique et découvrir, au même rythme qu’elle, les méandres de l’histoire de la Grèce de 2009 à 2012, presque au jour le jour (Éditions Daphnis et Chloé, 18 euros).
DJ et médecin, Vincent Attalin a électrisé le passage de la flamme olympique à Montpellier
Spécial Vacances d’été
À bicyclette, en avant toute
Traditions carabines et crise de l’hôpital : une jeune radiologue se raconte dans un récit illustré
Une chirurgienne aux nombreux secrets victime d’un « homejacking » dans une mini-série