« L’Élixir de l’immortalité », de Gabi Gleichmann : né en Hongrie et installé en Norvège, l’auteur déroule un imposant récit, entre saga familiale et histoire de l’Europe vue à travers les yeux des Juifs, par la voix du dernier descendant d’un médecin qui, huit siècles auparavant, a conçu l’élixir de l’immortalité (Grasset, 542 p., 22 euros).
« Dieu me déteste », de Hollis Seamon : un hommage au « panache » des adolescents malades, à travers le jeune Richard qui, en phase terminale d’un cancer, se révolte contre les adultes trop raisonnables et les règlements de l’hôpital, qui l’empêchent de connaître et d’expérimenter tout ce qu’il n’aura pas le temps de faire (La Belle Colère, 277 p., 19 euros).
« Mémoires d’un rebouteux breton », de Catherine École-Boivin : l’auteur a recueilli le témoignage d’un homme né en 1927, qui, après avoir observé depuis l’enfance son père rebouteux et hérité de sa mère le don de soigner zonas et brûlures, a consacré sa vie à soulager les souffrances des gens du bocage, à la frontière du Mont-Saint-Michel et de la Bretagne (Presses de la Cité, 214 p., 19 euros).
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