- « Le Piège de Lovecraft », d’Arnaud Delalande : dans la lignée du « Piège de Dante », un récit angoissant et fantastique autour d’un livre démoniaque, le « Necronomicon », qui a conduit un étudiant à perpétrer un carnage épouvantable (Grasset, 366 p., 20 euros).
- « Génération », de Laurent Bonzon et Denis Bretin : le dernier tome de la trilogie « Complex » a pour point de départ la mort d’adolescents à travers le monde, qui tous ont tenté d’accéder au dernier niveau d’un jeu d’arcane initiatique sorti de nulle part (Le Masque, 396 p., 20 euros).
- « Play », de Franck Parisot : un premier thriller implacable, où un serial killer dont toutes les proies aimaient exposer leur vie sur Internet, dépose sur chaque scène de crime une clé USB montrant le calvaire qu’il fait endurer à ses victimes (Albin Michel, 573 p., 20 euros).
- « Le Noyé de la glace », de Kjell Ola Dahl : un cadavre repêché dans un bassin au centre d’Oslo nous plonge dans les agissements douteux du Fonds pétrolier norvégien et d’une compagnie exploitant des phosphates au cœur du Sahara occidental (Gallimard, 382 p., 22 euros).
- « Chiens enragés », de Marc Charuel : un ex de la DGSE, tombé avec le réseau islamiste qu’il infiltrait, est chargé par les terroristes, après sa sortie de prison, d’héberger un djihadiste venu d’Afghanistan, porteur du testament de Ben Laden (Albin Michel, 556 p., 22 euros).
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