Après les députés fin janvier, les sénateurs se prononceront à leur tour le 28 février sur une mesure voulue par le président de la République, Emmanuel Macron : inscrire dans la constitution « la liberté garantie » aux femmes d’avoir recours à une interruption volontaire de grossesse. Cette démarche s’inscrit dans un contexte particulier, alors que l’IVG est menacée dans plusieurs pays démocratiques et que les mouvements anti-avortement sont de plus en plus actifs. Cette mesure se veut aussi « un message universel de solidarité à toutes les femmes qui voient aujourd'hui cette liberté bafouée », selon les mots d’Emmanuel Macron.
Le droit à l’IVG est-il menacé en France ? La constitutionnalisation de l’IVG va-t-elle renforcer ce droit ? Faut-il y voir une mesure symbolique face à la montée des mouvements anti-avortement ? L’accès effectif à l’IVG est-il garanti partout sur le territoire français ? À vous de débattre…
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