« Avant, pour le RSA, les gens recevaient un courrier tous les trois mois. Maintenant l’actualisation se fait par mail. Mais ils n’ont pas d’ordinateur ou ne savent pas se connecter, ils n’y ont pas accès. Or au moindre retard, l’arrêt du paiement est immédiat. »
Nicole, assistante sociale depuis 1981 in « Les oubliés de la start-up nation », article du Monde du 2 novembre 2018.
À l’étranger, des médecins plutôt favorables à l’aide à mourir pour eux-mêmes
749 incidents de cybersécurité déclarés dans les établissements de santé en 2024, en hausse de 29 %
L’affaire Le Scouarnec, miroir des défaillances des instances médicales
Pr Régis Aubry, spécialiste des soins palliatifs : « Analyser collégialement une demande d’aide à mourir évite l’arbitraire et le subjectif »