« Nous avons recu un enfant d'un an, son corps était tout bleu, son coeur battait à peine. Au moment où je lui ouvrais la bouche pour introduire un tube respiratoire, j'ai découvert qu'elle était remplie de sable. Il avait été évacué de sous les décombres. J'ai alors rapidement dégagé le sable de sa bouche mais celui-ci avait atteint les poumons. Nous les avons alors nettoyés, et il s'est mis de nouveau à respirer. »
Abou Al-Yousr, médecin, à l'AFP dans un des hôpitaux syriens touchés par les frappes russes le 20 février dernier.
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