En l’absence d’innovation thérapeutique marquante, les dépenses de la liste en sus ont progressé de 3 % par rapport à 2015. Elles se sont élevées à 4,9 milliards d’euros. L’hôpital public et le secteur privé non lucratif sont à l’origine des prescriptions de la liste en sus avec une augmentation de 2,2 % des dépenses. En revanche elles se contractent dans les cliniques (– 3% en 2016). Sans surprise, l’oncologie et les immunosuppresseurs expliquent 75 % de la facture. En 2016, le bévacizumab occupait la première place du podium suivi par l’infliximab. Le poste des dispositifs médicaux est également très dynamique avec une hausse de 5,6 % sur l’année. Les implants orthopédiques représentent 43 % des dépenses, suivis par les implants cardiaques et vasculaires d’origine synthétique (21 %) et les stimulateurs cardiaques (11 %).
Brève
Liste en sus, une progression contenue à 3 % en 2016
Par
Publié le 28/06/2018
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail

liste en sus
Crédit photo : GARO/PHANIE
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr
Vaccination, soutien aux soignants, IVG : le pape François et la santé, un engagement parfois polémique
« Je fais mon travail de médecin » : en grève de la faim, le Dr Pascal André veut alerter sur la situation à Gaza
Après deux burn-out, une chirurgienne décide de retourner la situation
La méthode de la Mutualité pour stopper 2,4 milliards d’euros de fraude sociale