« [La réforme de la protection sociale complémentaire pour la fonction publique hospitalière représentera un coût] de 600 millions d'euros par an, selon notre évaluation. Nos chiffres n'ont jamais été démentis et les établissements ne peuvent le financer sur leur budget. Cela représente une hausse de l'ordre de 0,3 % de l'Ondam. »
Benoît Fraslin, président de la Mutuelle nationale des hospitaliers (MNH) dans l'Argus de l'assurance.
Municipales : un généraliste marseillais dépose une main courante pour « outrage, injure et menace », contre le député LFI Sébastien Delogu
Série d’été – Ces exercices hors du commun
« C’est un plaisir de médicaliser le Hellfest » : le Dr Pierre Balaz allie médecine et death metal
Indemnisation des accidents médicaux : 186 millions d’euros versés par l’Oniam en 2024
Médecins bénévoles : « Connaître l’état d’esprit des patients très précaires est fondamental pour soigner »