Selon une étude espagnole publiée dans le « Journal of National Cancer Institute », des taux sanguins élevés de vitamine D active sont associés à une protection contre le cancer vésical.
Dans ce travail conduit dans 18 hôpitaux espagnols, on a recueilli des échantillons sanguins de 2000 individus, les uns ayant un cancer de la vessie et les autres servant de témoins sains. Résultat : les sujets qui avaient les taux les plus élevés de 25OHD3 (cholécalciférol ayant subi une hydroxylation hépatique, forme stable de vitamine D) étaient ceux qui avaient le plus faible risque d’avoir un cancer de la vessie.
Les auteurs ont également montré in vitro que la vitamine D régule l’expression de la protéine FGFR3 qui est impliquée dans le dévelopement du cancer de la vessie. Les auteurs indiquent avoir observé que globalement des taux élevés de vitamine D diminuent le risque de cancer invasif associé à de faibles taux de FGFR3, à savoir des cancers qui ont de fortes probabilités de former des métastases.
CCAM technique : des trous dans la raquette des revalorisations
Dr Patrick Gasser (Avenir Spé) : « Mon but n’est pas de m’opposer à mes collègues médecins généralistes »
Congrès de la SNFMI 2024 : la médecine interne à la loupe
La nouvelle convention médicale publiée au Journal officiel, le G à 30 euros le 22 décembre 2024