Mise au point par une équipe de l’INSERM, une stratégie d’immunothérapie passive par injection d’un anticorps dirigé contre une région spécifique du récepteur NMDA permettrait de combattre les effets proneurotoxiques du tPA, qu’il soit exogène ou endogène, sans affecter son activité thrombolytique ni les propriétés du récepteur. Une avancée qui, en plus d’élargir la fenêtre d’indication thérapeutique du rtPA, bénéficierait à l’ensemble des patients, qu’ils soient ou non thrombolysés, en protégeant le tissu cérébral des lésions ischémiques et en favorisant la récupération fonctionnelle.
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