Les aoûtats, très présents dans les hautes herbes, provoquent par le biais de leurs larves un prurit intense entraînant des lésions de grattage surtout au niveau des plis de flexion. Pour l’instant, aucune preuve de réaction d’hypersensibilité IgE-dépendante n’est démontrée.
Le taon entraîne par sa morsure des lésions importantes avec parfois cicatrisation atrophique. D’exceptionnels cas de choc anaphylactique IgE-dépendant ont été décrits.
Les simulies sont moins connues mais provoquent de redoutables lésions inflammatoires retardées surtout au niveau des jambes. Ces petites mouches noires piquent de jour et sont agressives au printemps et par beau temps lourd et ensoleillé.
Les tiques dures (les ixodidés), vecteurs de la maladie de Lyme et de la méningo-encéphalite, et les tiques molles parasites des oiseaux dans la forme sédentaire (les argasidés), peuvent être à l’origine de réaction anaphylactique.
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