De quoi Michel Polak est-il est le plus fier ? « D’enseigner dans le monde entier, répond-il. Ce côté "école" et cette transmission de savoir me ressemblent beaucoup. C’est toujours un voyage, et j’ai un goût profond pour les voyages : quand je vais physiquement enseigner à l’étranger, et aussi "par procuration" en faisant venir des "fellows" d’équipes étrangères qui repartent ensuite et tissent des liens durables avec notre équipe. C’est aussi d’avoir contribué à traiter le très jeune enfant atteint de maladies endocriniennes et aujourd’hui de pousser des industriels pour le développement de médicaments s’adressant aux tout petits, "parents pauvres" de la pharmacopée. » Quand je vois cette mode du haro systématique sur l’industrie pharmaceutique, cela me laisse un peu pantois. On a besoin de son engagement pour le développement de nouveaux médicaments et de nouvelles formes galéniques adaptées aux très jeunes enfants et en particulier dans les maladies rares, malgré un rendement économique incertain.
L’enseignement comme un voyage
Publié le 07/10/2013
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9269
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