Les altérations des systèmes de réparation d’ADN pourraient expliquer le déclin de la fertilité féminine vers la quarantaine. « C’est la première explication moléculaire de ce phénomène » a expliqué le Dr Susan Taymans du National Institutes of Health. Pour parvenir à ces conclusions, les auteurs ont examinés des ovocytes de souris mais aussi de femmes âgées de 21 à 41 ans et montrent que les systèmes de réparations de 4 gènes – BRCA1, MRE11, Rad51 et ATM- déclinent avec l’âge.
Quand les chercheurs éteignent expérimentalement les fonctions de ces gènes, les cellules présentent plus de cassures d’ADN et un taux de mortalité plus élevé.
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