Occupant ma retraite à travers des conférences cultivant la prévention, et concerné, comme vous tous, par le Covid 19, et connaissant bien l’Afrique de l’ouest, j’aimerais avoir le bras assez long pour conseiller aux instances qui nous gouvernent, et aux autres, d’interdire la vente d’animaux sauvages, tous potentiellement porteurs de germes et de virus pathogènes (voir le VIH, Ebola, l’antrax…).
Il faudrait aussi toucher les chinois, qui ont payé cher récemment, en les vendant sur un marché. On trouve toujours le même commerce en Afrique, où ils sont encagés et/ou découpés en « viande de brousse » achetée et consommée par la population.
Malheureusement, je n’ai plus les contacts que j’avais pour faire valoir ce changement… J’ai vu aussi la pauvreté et la rareté de la plupart des structures soignantes, qui, jointes au mode de vie de la majorité de la population, font craindre une catastrophe sanitaire majeure.
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