Les dysfonctions sexuelles féminines (DSF) recouvrent des réalités différentes. Troubles de l’intérêt et de l’excitation sexuels, troubles de l’orgasme, troubles de la pénétration et douleur génito-pelvienne.
Pour être considérés comme pathologiques, ces DSF doivent exister depuis au moins 6 mois et être présentes dans plus de 75 % des situations sexuelles (sauf pour la douleur, qui doit être présente dans 50 % des cas). Leur prévalence est significativement plus élevée en cas de cancer, ménopause, dépression, prise de certains médicaments… Et, en France, elles concernent 43 % des femmes.
Explications variées
De nombreuses raisons peuvent conduire une femme à ressentir moins de désir, moins de plaisir et moins de satisfaction dans sa vie sexuelle. La libido peut ainsi être affectée par des facteurs comme le stress, une grossesse, l’allaitement, la ménopause, une maladie chronique… Et il n’est pas toujours aisé d’aborder ces questions avec un professionnel de santé. D’après les équipes scientifiques du Laboratoire Densmore, seulement un tiers des femmes touchées par une DSF s’adresse à un médecin pour trouver de l’aide.
Solution innovante
Face à ce constat, ce laboratoire a décidé de lancer en France un nouveau produit. Solution pour application intime à action non hormonale, Zestra s’adresse aux femmes en quête de bien-être sexuel. Ce produit est commercialisé depuis plus de 5 ans dans les pays d’Amérique du Nord (plus de 5 millions d’utilisatrices à ce jour) et son efficacité a été avérée dans 2 études cliniques. Zestra est donc désormais disponible dans l’hexagone, après consultation avec un sexologue ou un gynécologue. Un site Internet dédié (www.zestra.fr/), accessible à tous, permet également d’en savoir plus.
Conférence de presse organisée par le laboratoire Densmore
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