Un premier registre, Vigimesh, coordonné par le CHU de Poitiers et en partie financé par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a été mis en place pour colliger les complications des dispositifs médicaux dans la chirurgie du prolapsus ou de l'incontinence à l'effort. Les résultats préliminaires, qui portent sur 1 873 femmes opérées dans 13 centres en France entre février 2017 et juillet 2018, font état d'un taux de complications de 2,8 %. Et c'est avec les bandelettes par voie trans-obsturatrice (TOT) que le taux de complications est le plus élevé, de 3 à 3,5 %. D'autres résultats devraient être présentés prochainement. L'AFU va prendre le relais et poursuivre la collecte des données sur ces interventions afin d’optimiser la prise en charge des patientes.
Le registre Vigimesh
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Publié le 17/12/2019
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Source : Le Quotidien du médecin
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