Les politiques ont toujours, de droite comme de gauche, méprisé cordialement le monde de la santé. L’exemple, relayé par les médias, est la grosse blague de l’épidémie de grippe. Les services d’urgence débordés par la grippe ? Pas un de mes patients n’est allé aux urgences à cause de la grippe ! Je découvre dans le plan Orsan qu’il est prévu de mobiliser la médecine libérale ! Que faisait-on dans nos cabinets depuis le début de l’épidémie ? On se tournait les pouces ? Évidemment, les médias ont interrogé sur les plateaux du « Grand Journal » le chevalier blanc : le grand P.P. (Patrick Pelloux pour les intimes) qui a demandé, à cette occasion, de nouveaux postes d’urgentistes.
Heureusement que nous bénéficions de la reconnaissance et de la confiance de nos patients !
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