Ce n’est pas la première fois que le Haut Conseil de Santé Publique est saisi de la question, depuis qu’un foyer de transmission autochtone de bilharziose urogénitale a été mis en évidence en Corse du Sud chez des personnes s’étant baignées l’été dans la rivière Cavu en 2011 ou 2013. Depuis lors, la baignade a été interdite dans cette rivière de corse du sud (et réouverte en juin dernier) et une campagne d’information a permis en 2014 de diagnostiquer quelques 120 cas autochtones, n’ayant jamais séjourné dans les zones d’endémie en Afrique où cette pathologie est répandue. Dans son dernier avis, le HCSP recommande donc l’ajout de la bilharziose urogénitale à la liste des maladies à déclaration obligatoire dans l’hexagone, ainsi que le lancement d’une information à destination des professionnels de santé.
Le HCSP préconise la déclaration obligatoire de cas de bilharziose
Publié le 07/12/2015
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Crédit photo : CNRI/SPL/PHANIE
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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